2020, des raisons d'espérer
David Lacombled interrogeait plusieurs auteurs distingués par les membres de La villa numeris, Isabelle Rouhan, Guy Mamou-Mani et Aurélie Jean (de gauche à droite sur la photo) lundi 27 janvier 2020.
A l'origine, il y avait une volonté de recommander des essais à offrir pour les fêtes de Noël. Les membres de La villa numeris ont voté pour les livres qu'ils avaient lus et appréciés. Et c'est ainsi que les auteurs et les membres de La villa numeris se sont retrouvés au siège du Groupe Open en ce début d'année.
Ceux qui partagent le combat de La villa numeris pour un modèle européen du numérique affirmant la primauté de l’humain n'auront pas été surpris de découvrir que nous avons privilégiés les auteurs les plus optimismes et les plus enjoués à un moment où le numérique vit comme un retour de flamme.
L’écrit est un des carburants d’un think tank. Le livre est une fête. Et parmi tous ceux que nous avons lus, nous avons souhaités distinguer ceux que nous avons appréciés. Autour d’auteurs qui ne se sont pas laissés aller à la simplicité. Sur un genre - l’anticipation, l’économie, les nouvelles technologies - qui n’est pas le plus couru. Sur lequel pourtant beaucoup de livres paraissent, donnant le sentiment de se répéter dans l’annonce de l’apocalypse.
Les ouvrages d'Aurélie Jean, de Guy Mamou-Mani et d'Isabelle Rouhan permettent ne mieux comprendre notre monde et de l’appréhender.
:: Notre sélection :
- L’entreprise du XXIe siècle sera politique ou ne sera plus, Pascal Demurger (L'Aube)
- La Fabrique du crétin digital, Michel_Desmurget (Sens critique)
- De l'autre côté de la machine, Aurélie Jean (L'Observatoire)
- L'apocalypse numérique n'aura pas lieu, Guy Mamou-Mani (L'Observatoire)
- Les métiers du futur, Isabelle Rouhan (First)